- Utilisation d’un pare-feu pour filtrer le trafic entrant et sortant. Un pare-feu peut être configuré pour bloquer le trafic provenant de sources spécifiques, ce qui peut aider à réduire le risque d’une attaque DDoS.
- Utilisation de l’authentification à deux facteurs (2FA). L’utilisation d’une authentification à deux facteurs peut aider à sécuriser les connexions à distance et à prévenir les attaques DDoS.
- Utilisation d’un système de gestion des accès (GMA). Un système GMA peut être utilisé pour surveiller et limiter l’accès aux serveurs et à d’autres ressources sensibles, ce qui peut aider à minimiser le risque d’une attaque DDoS.
- Utilisation d’un système de détection et de prévention des intrusions (IDS/IPS). Un système IDS/IPS peut surveiller le trafic réseau et détecter les tentatives d’attaque DDoS.
- Utilisation d’une solution de gestion des performances réseau (NPM). Une solution NPM peut aider à surveiller et à gérer le trafic réseau afin de détecter et de bloquer les attaques DDoS.
- Utilisation d’un système de détection des anomalies (ADS). Un système ADS peut surveiller le comportement réseau et détecter les anomalies qui peuvent indiquer une attaque DDoS.
- Utilisation d’un système de gestion des journaux (LMS). Un système LMS peut être utilisé pour surveiller et analyser les journaux système afin de détecter les tentatives d’attaque DDoS.
- Utilisation d’un système de défense en profondeur (DDP). Un système DDP peut être utilisé pour bloquer les attaques DDoS à plusieurs niveaux, en utilisant des techniques de détection et de filtrage avancées.