- La complexité et la variété des menaces : les systèmes de gestion des risques de cybercriminalité doivent être en mesure de gérer et de surveiller les menaces qui évoluent constamment et qui peuvent provenir de différents sources. Les acteurs malveillants peuvent utiliser des techniques et des outils sophistiqués pour tenter de pénétrer les réseaux et les systèmes d’information.
- Les technologies émergentes : les technologies émergentes telles que l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique peuvent être utilisées par les cybercriminels pour contourner les systèmes de sécurité existants. Les systèmes de gestion des risques de cybercriminalité doivent être en mesure de détecter et de réagir rapidement aux nouvelles menaces et technologies qui émergent.
- La sous-estimation des risques : les entreprises peuvent sous-estimer leurs risques de cybercriminalité et ne pas investir suffisamment de ressources pour les gérer correctement. Les systèmes de gestion des risques doivent être en mesure de mesurer et d’évaluer précisément les différents risques pour pouvoir prendre des mesures appropriées.
- La sécurité des données : les systèmes de gestion des risques doivent être en mesure de protéger les données sensibles et de s’assurer que les données sont stockées et gérées de manière sécurisée.
- La collaboration entre les acteurs : les systèmes de gestion des risques doivent encourager la collaboration entre les différents acteurs impliqués, tels que les fournisseurs de services, les fournisseurs de logiciels et les autorités de réglementation. Cette collaboration est essentielle pour pouvoir gérer efficacement les risques de cybercriminalité.